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Rédigé par Le Toit Citoyen le Vendredi 3 Mars 2017 à 11:13
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1. Cette comédie qu'on appelle le travail: Retrouver sa dignité au boulot, Corinne Berthaud, Edit. Calmann-Lévy
Corinne Berthaud a exercé de nombreux métiers… Avec son bagout et son seul BTS en poche, elle reprend une première entreprise à 24 ans, avant d’être engagée par un groupe. À la suite d’une restructuration, son poste est visé par son supérieur. Tous les coups sont permis pour la faire démissionner. Cet épisode lui permet de prendre conscience du gâchis humain qui a trop souvent cours dans nos entreprises. Elle devient manager de transition : missionnée par des sociétés en difficulté, elle fait en sorte de relancer les affaires avec éthique en tentant de préserver les emplois, dans le respect des collaborateurs.
2. Travailler à tout prix ! de Nicolas Chaboteaux, Cedric Porte, Edit. du Moment
Journaliste à BFM puis Europe 1, Nicolas Chaboteaux collabore à un magazine sportif jusqu'au jour où, licencié économique, il se retrouve au chômage. Découvrant à près de quarante ans l'extrême difficulté du marché de l'emploi, il est prêt à tout pour travailler à nouveau...
À trente ans, Cédric Porte perd son job. Les dettes et les tensions font exploser son couple. Expulsé de son logement, il se retrouve SDF. À la suite d’un passage à la télévision, il décroche un emploi et se croit tiré d’affaire. Il devra vite déchanter…
3. Vis ma vie d’instit – Les 1001 histoires de ma classe, Lucien Marboeuf, Edit. Fayard
« L’école, ce n’est pas que des polémiques sur la méthode globale, le poids du cartable ou les rythmes scolaires. Ce sont aussi et surtout des cœurs qui battent, de l’humanité par poignées : enfants chargés d’émotions, instits emplis de convictions, de bienveillance mais aussi de doutes, parents avides de certitudes et de sens.
Ce petit monde qui fait l’école de tous les jours, je le raconte à travers une année scolaire dans des chroniques tour à tour amusées, sombres, tendres, emportées parfois face aux contradictions de l’institution.
Prenez ma place derrière le bureau, vivez ma vie de la rentrée jusqu’aux grandes vacances, et vous ne regarderez plus jamais les instits de la même façon ! »
4. Bienvenue à bord, Sofia Lichani, Edit. Les Arènes
Sofia Lichani rêvait d’être hôtesse de l’air. Quand elle passe les épreuves de sélection Ryanair, elle est loin d’imaginer ce qui l’attend. Admise en vingt minutes, elle effectue une formation express en Irlande (à ses propres frais) durant laquelle elle doit mémoriser des centaines de pages de consignes de sécurité. Au moment de signer son contrat (un CDD d’intérimaire régi par le droit du travail irlandais), elle découvre qu’elle est corvéable à merci.
Commence alors un véritable enfer... Avec un sens de l’humour et une bienveillance à toute épreuve, elle décrit ces voyageurs qui traversent l’Europe pour moins de 20 euros, souvent furieux de s’être fait surtaxer par une compagnie au cynisme machiavélique…
Corinne Berthaud a exercé de nombreux métiers… Avec son bagout et son seul BTS en poche, elle reprend une première entreprise à 24 ans, avant d’être engagée par un groupe. À la suite d’une restructuration, son poste est visé par son supérieur. Tous les coups sont permis pour la faire démissionner. Cet épisode lui permet de prendre conscience du gâchis humain qui a trop souvent cours dans nos entreprises. Elle devient manager de transition : missionnée par des sociétés en difficulté, elle fait en sorte de relancer les affaires avec éthique en tentant de préserver les emplois, dans le respect des collaborateurs.
2. Travailler à tout prix ! de Nicolas Chaboteaux, Cedric Porte, Edit. du Moment
Journaliste à BFM puis Europe 1, Nicolas Chaboteaux collabore à un magazine sportif jusqu'au jour où, licencié économique, il se retrouve au chômage. Découvrant à près de quarante ans l'extrême difficulté du marché de l'emploi, il est prêt à tout pour travailler à nouveau...
À trente ans, Cédric Porte perd son job. Les dettes et les tensions font exploser son couple. Expulsé de son logement, il se retrouve SDF. À la suite d’un passage à la télévision, il décroche un emploi et se croit tiré d’affaire. Il devra vite déchanter…
3. Vis ma vie d’instit – Les 1001 histoires de ma classe, Lucien Marboeuf, Edit. Fayard
« L’école, ce n’est pas que des polémiques sur la méthode globale, le poids du cartable ou les rythmes scolaires. Ce sont aussi et surtout des cœurs qui battent, de l’humanité par poignées : enfants chargés d’émotions, instits emplis de convictions, de bienveillance mais aussi de doutes, parents avides de certitudes et de sens.
Ce petit monde qui fait l’école de tous les jours, je le raconte à travers une année scolaire dans des chroniques tour à tour amusées, sombres, tendres, emportées parfois face aux contradictions de l’institution.
Prenez ma place derrière le bureau, vivez ma vie de la rentrée jusqu’aux grandes vacances, et vous ne regarderez plus jamais les instits de la même façon ! »
4. Bienvenue à bord, Sofia Lichani, Edit. Les Arènes
Sofia Lichani rêvait d’être hôtesse de l’air. Quand elle passe les épreuves de sélection Ryanair, elle est loin d’imaginer ce qui l’attend. Admise en vingt minutes, elle effectue une formation express en Irlande (à ses propres frais) durant laquelle elle doit mémoriser des centaines de pages de consignes de sécurité. Au moment de signer son contrat (un CDD d’intérimaire régi par le droit du travail irlandais), elle découvre qu’elle est corvéable à merci.
Commence alors un véritable enfer... Avec un sens de l’humour et une bienveillance à toute épreuve, elle décrit ces voyageurs qui traversent l’Europe pour moins de 20 euros, souvent furieux de s’être fait surtaxer par une compagnie au cynisme machiavélique…
Pour la 5ième édition du Prix, les 5 livres sélectionnés pour la catégorie " Ouvrage écrit par un Salarié ", sont :
La porte !, d'Anne Sari, paru aux éditions Michalon, le 3 octobre 2013.
Alors voilà, de Baptiste Beaulieu, paru aux éditions Fayard, le 9 octobre 2013.
Le salaire de la vie, de Ghislaine Tormos, paru aux éditions Don Quichotte, le 16 janvier 2014.
Serial Social, d'Elise Viviand, paru aux éditions des Liens qui Libèrent, le 2 avril 2014.
Jours de collège, de Sophie Delcourt et Louise Cunéo, paru aux éditions Bartillat, le 21 août 2014.
La porte !, d'Anne Sari, paru aux éditions Michalon, le 3 octobre 2013.
Alors voilà, de Baptiste Beaulieu, paru aux éditions Fayard, le 9 octobre 2013.
Le salaire de la vie, de Ghislaine Tormos, paru aux éditions Don Quichotte, le 16 janvier 2014.
Serial Social, d'Elise Viviand, paru aux éditions des Liens qui Libèrent, le 2 avril 2014.
Jours de collège, de Sophie Delcourt et Louise Cunéo, paru aux éditions Bartillat, le 21 août 2014.
Profession ? Douanier ! » C’est la réponse que fait Hervé chaque fois qu’on lui pose la question.
La plupart de ses collègues préfèrent répondre « fonctionnaire », lui, non. Il assume fièrement sa condition de « gabelou ». ll nous embarque sur le terrain, dans le quotidien des douaniers.
Aux frontières, sur les sites portuaires, dans les gares, les aéroports… la douane est partout. Contrôles des véhicules, fouilles, inspections, saisies, etc.
Être douanier, c’est avant tout une question de flair, d’intuition, et d’expérience. Les douaniers sont également les garants de la propriété intellectuelle et du patrimoine national : les coulisses d’un métier difficile, souvent stigmatisé dans notre société.
La plupart de ses collègues préfèrent répondre « fonctionnaire », lui, non. Il assume fièrement sa condition de « gabelou ». ll nous embarque sur le terrain, dans le quotidien des douaniers.
Aux frontières, sur les sites portuaires, dans les gares, les aéroports… la douane est partout. Contrôles des véhicules, fouilles, inspections, saisies, etc.
Être douanier, c’est avant tout une question de flair, d’intuition, et d’expérience. Les douaniers sont également les garants de la propriété intellectuelle et du patrimoine national : les coulisses d’un métier difficile, souvent stigmatisé dans notre société.
Que savons-nous vraiment de la prison ?
Pour voir par lui-même ce qui se passe dans ce monde clos, ce jeune journaliste a passé le concours de gardien de prison et est devenu, l’espace de quelques mois, un « infiltré ». On découvre avec lui, en partageant son inquiétude, son étonnement et souvent sa colère, le désespoir et la folie, la roublardise de tous, le poids de l’enfermement. Au fil des jours, toutes les certitudes du journaliste vacillent : comment rester juste ?
Comment œuvrer à la réinsertion quand on doit exercer un métier épuisant dans des conditions si difficiles ? De cette expérience hors du commun est né un récit bouleversant, d’une force rare. Arthur Frayer est diplômé de l’école de journalisme de Strasbourg.
Pour voir par lui-même ce qui se passe dans ce monde clos, ce jeune journaliste a passé le concours de gardien de prison et est devenu, l’espace de quelques mois, un « infiltré ». On découvre avec lui, en partageant son inquiétude, son étonnement et souvent sa colère, le désespoir et la folie, la roublardise de tous, le poids de l’enfermement. Au fil des jours, toutes les certitudes du journaliste vacillent : comment rester juste ?
Comment œuvrer à la réinsertion quand on doit exercer un métier épuisant dans des conditions si difficiles ? De cette expérience hors du commun est né un récit bouleversant, d’une force rare. Arthur Frayer est diplômé de l’école de journalisme de Strasbourg.
Au début des années 1980, le sociologue Michel Pialoux rencontre Christian Corouge, ouvrier et syndicaliste chez Peugeot-Sochaux. Ils entament un long dialogue sur le travail à la chaîne, l’entraide dans les ateliers et la vie quotidienne des familles ouvrières.
À partir de l’histoire singulière d’un ouvrier, devenu porte-parole de son atelier sans jamais le quitter, sont abordées les difficultés de la constitution d’une résistance syndicale.
À partir de l’histoire singulière d’un ouvrier, devenu porte-parole de son atelier sans jamais le quitter, sont abordées les difficultés de la constitution d’une résistance syndicale.