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Christian Larose a reçu des mains d'Antonio Cacciatore, le peintre choisi cette année par le Toit Citoyen, une oeuvre originale. Il en fut de même pour Jean-Philippe Bouilloud...
Christian Larose montre le tableau sous les yeux de son créateur pendant que Jean Auroux s'apprête à lui remettre le trophée.
Antonio Cacciatore ne connaissait pas les résultats du Prix mais seulement les ouvrages sélectionnés. L' étonnant c'est que les deux toiles qui ont été offertes aux lauréats étaient raccord avec le titre de leurs livres !
Né en 1966, Antonio Cacciatore est un artiste plasticien. Son parcours de vie est très original... Il est le septième enfant d’une famille d’immigrés siciliens.
En 2006, Cacciatore met un terme à sa carrière de consultant à La Défense.... C'est aussi ce parcours de vie qui a incité le Toit Citoyen à lui demander sa contribution pour ce millésime.
Il part alors vivre en Australie où il commence des études d’arts plastiques.
Il est presque immédiatement repéré par Michelle Hiscock et Kim Spooner, enseignantes à la prestigieuse Sydney National Art School, lesquelles l’encouragent à persévérer dans cette nouvelle voie.
De retour à Paris, il entre dans l’atelier d’Ingrid Distler, copiste au Louvre et professeur à la Frankfurt Kunstakademie. Il suit en parallèle les cours du peintre mexicain hyperréaliste Francisco Rangel. Cette double formation lui permet d’acquérir une maitrise technique héritée des grands maitres renaissants et néo-classiques, qu’il associe à des pratiques contemporaines.
En 2009, Cacciatore reçoit le premier prix du toit de l’Arche de la Défense des mains d’Antoine Poncet, Président de l’Académie des Beaux Arts. Les expositions se succèdent.
Aujourd’hui peintre à part entière, il vit et travaille à Paris et son atelier est au 266 rue Marcadet.
Né en 1966, Antonio Cacciatore est un artiste plasticien. Son parcours de vie est très original... Il est le septième enfant d’une famille d’immigrés siciliens.
En 2006, Cacciatore met un terme à sa carrière de consultant à La Défense.... C'est aussi ce parcours de vie qui a incité le Toit Citoyen à lui demander sa contribution pour ce millésime.
Il part alors vivre en Australie où il commence des études d’arts plastiques.
Il est presque immédiatement repéré par Michelle Hiscock et Kim Spooner, enseignantes à la prestigieuse Sydney National Art School, lesquelles l’encouragent à persévérer dans cette nouvelle voie.
De retour à Paris, il entre dans l’atelier d’Ingrid Distler, copiste au Louvre et professeur à la Frankfurt Kunstakademie. Il suit en parallèle les cours du peintre mexicain hyperréaliste Francisco Rangel. Cette double formation lui permet d’acquérir une maitrise technique héritée des grands maitres renaissants et néo-classiques, qu’il associe à des pratiques contemporaines.
En 2009, Cacciatore reçoit le premier prix du toit de l’Arche de la Défense des mains d’Antoine Poncet, Président de l’Académie des Beaux Arts. Les expositions se succèdent.
Aujourd’hui peintre à part entière, il vit et travaille à Paris et son atelier est au 266 rue Marcadet.
Rédigé par Le Toit Citoyen le Vendredi 8 Février 2013 à 12:31
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