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« Note dans un coin de ta tête… », c’est une phrase récurrente au Toit Citoyen. Il faut que vous le sachiez, Patrick Gobert, en dessous d’une idée au moins par semaine, on peut le considérer en petite forme.
Alors on note dans un coin de tête. On réfléchit, on explore. Des contours se dessinent. Et parfois, ça prend la forme d’un projet beaucoup plus concret.
Parfois pas, ou pas tout de suite, alors on laisse l’idée en jachère jusqu’au moment où son tour sera venu.
Il y a quelques années, du temps où nous étions partenaires d’un autre prix littéraire, assez différent dans l’esprit, on débriefait de la cérémonie et j’entends cette phrase : « Anne, note dans un coin de ta tête de réfléchir à ce qu’on ferait si on faisait NOTRE prix littéraire ».
Un peu de temps a passé. Des Journées Citoyennes à organiser, des priorités à gérer, des projets de court terme à mener à bien.
Au printemps dernier, le coup de massue : la fermeture de l’Arche. Et le Toit Citoyen à qui trouver une place, garder son sens, réinventer, garder les fondamentaux mais y apporter d’autres choses…
Du coup, au printemps dernier, nous étions aussi foisonnants. D’idées de projets.
Je me souviens, le soir de mes vacances, d’être partie du bureau en remerciant Patrick pour ces échanges incroyablement denses que nous avions eus, de mai à juillet. C’était une période incroyable dans la vie professionnelle.
Fin août nous nous retrouvions, avec l’envie de prouver que nous étions « plus fort que le lieu qui nous abritait », pour reprendre sa formule.
Et il y a eu la semaine à « une idée par jour » !
Un matin, de cette semaine, le 27 ou le 28 août, je ne sais plus exactement, Patrick m’a lancé : « Et si on faisait ce fameux prix littéraire, on y mettrait quoi ? ».
Les idées ont fusé. Les noms de gens que nous avions envie d’y associer. Les « valeurs » du Prix. Les genoux qui tremblent un peu à l’idée que si on se lance, les délais seront improbables.
Et nous nous sommes lancés, vite rejoints par Vanessa Logerais pour nous conseiller et nous accompagner.
Malgré le recul de presque un an depuis ce matin d’août, alors que nous travaillons déjà (et oui ! bonne nouvelle !), sur la deuxième édition il m’arrive encore de me lever le matin et sur le trajet du bureau, me dire, étonnée et émerveillée à la fois : « bon sang, je fais partie d’une équipe qui organise un prix littéraire. Sur le monde du travail. Ce n’est pas donné à tout le monde ».
(En alternance avec les récits de Patrick Gobert sur la constitution du jury experts, je vous parlerai prochainement de la constitution du jury CE)
Alors on note dans un coin de tête. On réfléchit, on explore. Des contours se dessinent. Et parfois, ça prend la forme d’un projet beaucoup plus concret.
Parfois pas, ou pas tout de suite, alors on laisse l’idée en jachère jusqu’au moment où son tour sera venu.
Il y a quelques années, du temps où nous étions partenaires d’un autre prix littéraire, assez différent dans l’esprit, on débriefait de la cérémonie et j’entends cette phrase : « Anne, note dans un coin de ta tête de réfléchir à ce qu’on ferait si on faisait NOTRE prix littéraire ».
Un peu de temps a passé. Des Journées Citoyennes à organiser, des priorités à gérer, des projets de court terme à mener à bien.
Au printemps dernier, le coup de massue : la fermeture de l’Arche. Et le Toit Citoyen à qui trouver une place, garder son sens, réinventer, garder les fondamentaux mais y apporter d’autres choses…
Du coup, au printemps dernier, nous étions aussi foisonnants. D’idées de projets.
Je me souviens, le soir de mes vacances, d’être partie du bureau en remerciant Patrick pour ces échanges incroyablement denses que nous avions eus, de mai à juillet. C’était une période incroyable dans la vie professionnelle.
Fin août nous nous retrouvions, avec l’envie de prouver que nous étions « plus fort que le lieu qui nous abritait », pour reprendre sa formule.
Et il y a eu la semaine à « une idée par jour » !
Un matin, de cette semaine, le 27 ou le 28 août, je ne sais plus exactement, Patrick m’a lancé : « Et si on faisait ce fameux prix littéraire, on y mettrait quoi ? ».
Les idées ont fusé. Les noms de gens que nous avions envie d’y associer. Les « valeurs » du Prix. Les genoux qui tremblent un peu à l’idée que si on se lance, les délais seront improbables.
Et nous nous sommes lancés, vite rejoints par Vanessa Logerais pour nous conseiller et nous accompagner.
Malgré le recul de presque un an depuis ce matin d’août, alors que nous travaillons déjà (et oui ! bonne nouvelle !), sur la deuxième édition il m’arrive encore de me lever le matin et sur le trajet du bureau, me dire, étonnée et émerveillée à la fois : « bon sang, je fais partie d’une équipe qui organise un prix littéraire. Sur le monde du travail. Ce n’est pas donné à tout le monde ».
(En alternance avec les récits de Patrick Gobert sur la constitution du jury experts, je vous parlerai prochainement de la constitution du jury CE)
Rédigé par Le Toit Citoyen le Mercredi 29 Juin 2011 à 09:52
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